HopHopHop et il ressort comme elle est venue ...Moi zavec d'ailleurs flipflapfloup et le temps coule et s'écoule et plus rien n'existe moi non plus d'ailleurs je ne suis que spectatrice appeurée ou pas je n'en sais rien mais je sais que je regarde attentivemment ce qui se passse et que moi ,qui ne suis pas très sientifique ,me plonge dans des calculs types mal-de-crâne inutile afin d'assouvir quelque chose , peut-être afin de me dire "j'existe..." . Seulement si elle agit en contradiction avec ma nature profonde comment savoir si j'existe toujours ou si je suis perdue et que je dois artir à ma recherche , ma propre recherche.Alors je me dis elle vient s'installe et me procure seulement certain assouvissement psychique mais fictifs me tourne la tête et me rend légère afin de me sentir bien...C'est comme un lavage de crâne et je perçois tout , tout. Le moindre bruit , le moindre mouvements, le moindre coup de vent même léger à en s'evanouir...C'est l'unique force dont je dispose partir loin pour peu à peu me fuir au fond c'est une faiblesse car elle m'attire toujours dans son piège et moi je garde l'image utopique de gagner un seul instant tout en m'aveuglant devant cette réalité aussi crevante qu'un trompe l'oeil afin de mieux m'éteindre...
Samedi 9 septembre 2006 à 21:38
Moi qui aimait tant ton sourire je n'entend plus que tes soupirs...
Quelle heure est-il au paradis?
et si je te dis que tout ça me dépasse?
et si je te dis que tout ça nous remplace ?
et si je te dis que tout ça n'est que superflu.
et si je te dis que tout ça nous tue ?
Et l'orage sévit...
Mercredi 6 septembre 2006 à 19:20
11/08/06
« Elle est tombée du ciel comme un ange…Mais mon Dieu qu'elle est belle c'est étrange… »
Bribes de mots, de phrases, de pensées
Ici seule trône la réalité
Accès de rage, de joie, de tristesse, ou de détresse
Où seulement là je puis m'y retrouver comme une déesse
Narcissisme ? À quoi bon ?
Après tout le temps m'est compté
Me voilà déjà qui vieillit avant d'être jeune
Me voilà déjà qui périt avoir d'avoir vécu
Me voilà déjà gourmande avant le jeun
Me voilà déjà partie avant d'y avoir cru
En un mot :
Me voilà éteinte.
Encore une petite étreinte ?
Une infime ?ou une infinie ?
Peut m'importe tant qu'elle m'emporte vers l'oubli.
Espoir jusqu'ici non atteint
Depuis longtemps que le feu s'est éteint
Mais jamais ne se plaint
Juste ne craint
De n'avoir jamais été qu'un
Unité.
Solitude.
Cruauté.
Amertume.
Tout ça n'a aucun sens
Mais il est bon de l'exprimer
Pourquoi ?
Rien à justifier.
Je ressens tant l'absence de mes prières.
Tout autant celle d'un père
Il y a longtemps que je n'ai pus prier
Ou bien même embrasser
Il ne m'as été permis que d'être embarrasser…
Alors après ça que croire ?
Mise à part qu'il fait tout noir ?
Où aller ?
Où espérer ?
Ou prêcher ?
Ou pécher ?
Où demander ?
Ou encore parler ?
En définitif … où exister ?
Aux creux de sa main ...je ferme les yeux...Et me voilà loin ...loin...si loin...si bien...
Mardi 5 septembre 2006 à 21:31
15/08/06
« And the sun shines it's not to late and the rain fall down and the sun shines going on off the rainbow I won't get off… I won't get off...”
A l'heure où tout recommence
Je cris en silence
Et la tension vole, vole
Et m'échappe…
Je quitte le sol
Et m'évappe…
Mon corps hurle de souffrance de désespoir et de transe
Autant que mon âme qui implore ce manque
Manque de vie manque d'amour propre
Cercle vicieux
Où bientôt je rejoins les cieux
Prise de conscience
Absence
Place à l'abstinence
Au plaisir de la défense
Comique jouissance
Je lance et balance
Le cœur en transe
Le mystère d'une partance
Dans l'incandescence
D'une irréalité intense
Où peu je ne puis trouver de chance
A part l'échéance
Ni de croissance
Ma vie seule ne tiens qu'a cette anse
D'une rancœur et d'un désarroi rance
Que mère salope ma fait don dés ma plus jeune enfance…
Confession fatale
Que j'exprime en un râle
A travers ces mots et ce visage pâle
Et le cœur aussi dur qu'une dalle
Cachée derrière un grand voile
Aucune joie ne dépasse ce châle
Impure et sale
Je suis et point ne fuit le banale
Que mère ingrate m'a offert sous l'image d'un graal
Autrement que l'objectif gale…
Pauvre enfant
Tu nies où tu mens ?
Mais jamais tu n'attends les dures lois de ton testament
Ni n'entends les cris de tes parents
Qui plaintent amèrement
L'amour qui devint absent.