Mercredi 13 septembre 2006 à 23:05

HopHopHop et il ressort comme elle est venue ...Moi zavec d'ailleurs flipflapfloup et le temps coule et s'écoule et plus rien n'existe moi non plus d'ailleurs je ne suis que spectatrice appeurée ou pas je n'en sais rien mais je sais que je regarde attentivemment ce qui se passse et que moi ,qui ne suis pas très sientifique ,me plonge dans des calculs types mal-de-crâne inutile afin d'assouvir quelque chose , peut-être afin de me dire "j'existe..." . Seulement si elle agit en contradiction avec ma nature profonde comment savoir si j'existe toujours ou si je suis perdue et que je dois artir à ma recherche , ma propre recherche.Alors je me dis elle vient s'installe et me procure seulement certain assouvissement psychique mais fictifs me tourne la tête et me rend légère afin de me sentir bien...C'est comme un lavage de crâne et je perçois tout , tout. Le moindre bruit , le moindre mouvements, le moindre coup de vent même léger à en s'evanouir...C'est l'unique force dont je dispose partir loin pour peu à peu me fuir au fond c'est une faiblesse car elle m'attire toujours dans son piège et moi je garde l'image utopique de gagner un seul instant tout en m'aveuglant devant cette réalité aussi crevante qu'un trompe l'oeil afin de mieux m'éteindre...

Lundi 11 septembre 2006 à 22:41

Il faut alimenté le Mal...

Samedi 9 septembre 2006 à 21:38

Moi qui aimait tant ton sourire je n'entend plus que tes soupirs...

Quelle heure est-il au paradis?

et si je te dis que tout ça me dépasse?

et si je te dis que tout ça nous remplace ?

et si je te dis que tout ça n'est que superflu.

et si je te dis que tout ça nous tue ?

Et l'orage sévit...

Mercredi 6 septembre 2006 à 19:20

11/08/06

 

« Elle est tombée du ciel comme un ange…Mais mon Dieu qu'elle est belle c'est étrange… »

 

Bribes de mots, de phrases, de pensées

Ici seule trône la réalité

Accès de rage, de joie, de tristesse, ou de détresse

Où seulement là je puis m'y retrouver comme une déesse

                                                                                                              Narcissisme ? À quoi bon ?

Après tout le temps m'est compté

Me voilà déjà qui vieillit avant d'être jeune

Me voilà déjà qui périt avoir d'avoir vécu

Me voilà déjà gourmande avant le jeun

Me voilà déjà partie avant d'y avoir cru

En un mot :

Me voilà éteinte.

Encore une petite étreinte ?

Une infime ?ou une infinie ?

Peut m'importe tant qu'elle m'emporte vers l'oubli.

Espoir jusqu'ici non atteint

Depuis longtemps que le feu s'est éteint

Mais jamais ne se plaint

Juste ne craint

De n'avoir jamais été qu'un

Unité.

Solitude.

Cruauté.

Amertume.

Tout ça n'a aucun sens

Mais il est bon de l'exprimer

Pourquoi ?

Rien à justifier.

Je ressens tant l'absence de mes prières.

Tout autant celle d'un père

Il y a longtemps que je n'ai pus prier

Ou bien même embrasser

Il ne m'as été permis que d'être embarrasser…

Alors après ça que croire ?

Mise à part qu'il fait tout noir ?

Où aller ?

Où espérer ?

Ou prêcher ?

Ou pécher ?

Où demander ?

Ou encore parler ?

En définitif … où exister ?

Aux creux de sa main ...je ferme les yeux...Et me voilà loin ...loin...si loin...si bien...

Mardi 5 septembre 2006 à 21:31

 

15/08/06

 

« And the sun shines it's not to late and the rain fall down and the sun shines going on off the rainbow I won't get off… I won't get off...”

 

A l'heure où tout recommence

Je cris en silence

Et la tension vole, vole

Et m'échappe…

Je quitte le sol

Et m'évappe…

Mon corps hurle de souffrance de désespoir et de transe

Autant que mon âme qui implore ce manque

Manque de vie manque d'amour propre

Cercle vicieux

Où bientôt je rejoins les cieux

Prise de conscience

Absence

Place à l'abstinence

Au plaisir de la défense

Comique jouissance

Je lance et balance

Le cœur en transe

Le mystère d'une partance

Dans l'incandescence

D'une irréalité intense

Où peu je ne puis trouver de chance

A part l'échéance

Ni de croissance

Ma vie seule ne tiens qu'a cette anse

D'une rancœur et d'un désarroi rance

Que mère salope ma fait don dés ma plus jeune enfance…

Confession fatale

Que j'exprime en un râle

A travers ces mots et ce visage pâle

Et le cœur aussi dur qu'une dalle

Cachée derrière un grand voile

Aucune joie ne dépasse ce châle

Impure et sale

Je suis et point ne fuit le banale

Que mère ingrate m'a offert sous l'image d'un graal

Autrement que l'objectif gale…

Pauvre enfant

Tu nies où tu mens ?

Mais jamais tu n'attends les dures lois de ton testament

Ni n'entends les cris de tes parents

Qui plaintent amèrement

L'amour qui devint absent.

                                                     

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | Page suivante >>

Créer un podcast